Chaque année, le réveillon du 31 décembre est une période où la pression sociale pour consommer de l’alcool est omniprésente. Pour beaucoup, c’est un moment festif, mais pour d’autres, c’est une véritable épreuve à surmonter, notamment pour ceux qui cherchent à réduire ou à stopper leur consommation.
Un enjeu de santé publique négligé
L’alcool demeure le parent pauvre de nos politiques de santé publique, malgré des chiffres alarmants : 49000 décès chaque année en France sont liés à sa consommation.
La pression sociale, un facteur-clé
Des études récentes montrent que les relations sociales influencent fortement la consommation d’alcool, en particulier chez les jeunes. Voici comment cette pression peut se manifester :
- LES PAIR·ES ET LEURS ATTITUDES. Les ami·es ou proches ayant une attitude favorable envers l’alcool augmentent la probabilité de consommation chez celleux qui les entourent.
- SOCIALISATION NON STRUCTURÉE. Les fêtes et les activités non encadrées sont des occasions propices à la consommation excessive.
- INFLUENCE DES PARTENAIRES ROMANTIQUES. Les partenaires peuvent agir comme des modèles ou des facilitateur·rices, renforçant l’exposition à des environnements favorisant l’alcool.
Un enjeu pour toutes les générations
Si la pression sociale est souvent étudiée chez les jeunes, elle ne disparaît pas avec l’âge. Les fêtes et les rassemblements sociaux peuvent également représenter des défis pour les adultes et les seniors, notamment ceux qui tentent de maintenir leur sobriété.
Et vous, quelles sont vos idées pour réduire la pression sociale autour de l’alcool, particulièrement en cette période festive?
P.S. : Demain, c’est #DryJanuary